La Suisse est connue pour être un pays où les activités économiques sont florissantes. Les entreprises françaises sont constamment en quête d’un environnement fiscal avantageux pour leurs activités. La Suisse leur offre cette opportunité. La rapidité de la fructification de l’argent, par le biais des investissements en bourse, entre autres, encourage les dirigeants d’entreprises étrangères à investir en Suisse. Il en est de même des taux d’intérêt moins élevés qu’en France. Les entreprises françaises pourvoient des milliers d’emplois directs dans le pays, dans divers secteurs d’activités. Quoi qu’il en soit, toute entreprise européenne, implantée en Suisse, ou dont les activités se déroulent dans ce pays est assujettie aux obligations fiscales locales. Le contrôle fiscal est rigoureux et impose même aux dirigeants d’entreprise étrangère de recourir à une société fiduciaire pour les représenter.
Les obligations fiscales à respecter par les entreprises implantées en Suisse
Quelle que soit la nature de vos activités commerciales en Suisse, que l’entreprise soit à titre individuel ou SARL, celle-ci est redevable d’impôts et taxes de redevances, ainsi que d’autres obligations fiscales. De même, tous les biens placés en Suisse doivent être déclarés au service de la fiscalité. Les déclarations de revenus et d’impôts, la légalité des opérations comptables incombent à un représentant fiscal tel que sur Rister.fr qui devra veiller à la conformité de l’entreprise avec la loi.
Par ailleurs, certaines catégories de métiers exercés en Suisse sont assujetties à la taxe sur la valeur ajoutée suisse (TVA). Dans cette catégorie, se trouve le secteur de la construction, de l’industrie manufacturière, du commerce d’appareils électroniques et informatiques, de jeux vidéo et d’appareils virtuels, d’établissements d’activités physiques et sportives, ou encore les activités commerciales utilisant des entrepôts et d’espaces de stockage.
Des modifications des règles d’imposition et des dispositions fiscales sont apportées depuis le 1er janvier 2018, en ce qui concerne les entreprises étrangères exerçant ou implantées en Suisse. Ainsi, en fonction d’un chiffre d’affaires déterminé préalablement par un plafonnement, elles sont imposables à la TVA. Les opérateurs qui investissent dans une activité immobilière locative, par exemple, bénéficient d’une réduction d’impôts sur le revenu. La niche fiscale passive, pour sa part, est intéressante pour l’exonération des intérêts générés par un livret d’épargne.
Un représentant fiscal en Suisse pour vous aider
Si vous envisagez de monter une entreprise en Suisse, vous trouverez facilement un représentant fiscal auprès d’une société fiduciaire. Il se chargera des dispositions fiscales et juridiques relatives à vos activités. Il se porte garant de la bonne tenue des comptabilités (tout connaître de la note de crédit ), ainsi que de la légalité fiscale de son client. Il est le responsable fiscal de votre entreprise devant le contrôle fiscal. Son rôle est ainsi de veiller à ce que l’entreprise cliente se conforme régulièrement aux obligations légales en vigueur dans le pays. À ce titre, il est rompu au métier notamment de comptabilité et de fiscalité et ne commet aucune erreur, ni omission susceptibles de fausser les déclarations. Il peut enfin être amené à réaliser les déclarations administratives, relatives à l’implantation de votre entreprise et représenter celle-ci auprès des établissements bancaires et financiers.